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16 décembre 2010 4 16 /12 /décembre /2010 10:14

 

Après la crise du logement hier, c’est la crise des transports que subit la délégation française ! Les 5 heures d’attente pour le bus ont été égayées tantôt au son du « Viva la lucha del pueblo Sahraoui », tantôt par la guitare des Espagnols. Bien sûr, la partie de dés est devenue le must de la lutte contre l’ennui .

 

Enfin arrivées, toutes les délégations sont citées au micro : certaines très applaudies (Palestine, Cuba, etc.), d’autres moins (Israël, Maroc, etc.). Et c’est dans une belle bousculade, mais pas peu fière de chanter l’Internationale, que la délégation française défile en se pavanant dans le stade. Pour clore cette journée il faut évoquer les « Ooh » et « Aah » devant des avions aux loopings fous. Les seuls à avoir obtenu autant d’attention du public ne sont pas les discours successifs mais les danseuses aux performances époustouflantes.

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16 décembre 2010 4 16 /12 /décembre /2010 10:08

« 10 minutes »bus-1-.jpg

 

une journée en Afrique du Sud tient à peu de choses…

 

A dix minutes près, on peut rater les bus du matin. A dix minutes près on peut aussi rater la livraison du diner (mais ça n’est pas arrivé!). Au final on passe beaucoup de temps à entendre: « dans dix minutes »… Le départ, l’arrivée, le début, la fin, tout est dans « dix minutes »… à quelques heures près.

 

Mais qu’importe la pluie, le vent, le soleil, les informations qui se contredisent les unes après les autres, et toutes ces minutes à attendre qui deviennent trop souvent des heures. Les choses se mettent en place. Les premières réunions de délégations, les premières discussions avec les délégués des autres pays, le premier grand rassemblement, ça y est: le Festival est lancé! (ouf!)

 

Si patience est mère de toutes les vertus, alors nous sommes fin près, remontés à bloc! Conférences, séminaires, ateliers, tournoi de foot, marathon, ils vont voir ce qu’ils vont voir: la délégation française est dans la place!

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16 décembre 2010 4 16 /12 /décembre /2010 10:04

Benjamin-1-.jpgAG : Tu peux te présenter ?

Je suis des Jeunes Communistes du Pas-de-Calais. Je suis le seul de ma fédé, du fait du mandat et on a pour projet d’envoyer des copains à Cuba en juillet prochain. C’est un projet de solidarité concrète : construire ou rénover une école. Personnellement, je suis à la recherche d’un travail après avoir été télé-conseiller pour canal + et canal sat. Ma mission c’était d’expliquer à des clients furieux que tout était normal que tout allait bien. Ce festival c’est mon premier voyage avec la JC. D’ailleurs je ne connais pas encore grand monde même si là je commence à nouer des contacts.

AG : Qu’attends-tu du festival ?

Je veux en tirer un max d’infos pour pouvoir transmettre tout ça à ma fédération en rentrant. On a prévu une expo photo sur le voyage à l’occasion de nos vœux pour la nouvelle année. Et puis même si on est minoritaire en France, on est présent partout dans le monde et ça on le voit ici. Ca fait chaud au cœur de voir tant de gens qui se battent pour la même chose. C’est aussi l’occasion de resserrer les liens entre les JC de France d’abord et avec les organisations des autres pays. Enfin, chez moi j’essaie de faire bouger les choses comme avec les actions coup de poing qu’on a fait pendant le mouvement des retraites avec la CGT. On allait bloquer des dépôts ou La Poste par exemple. Ici je pourrais savoir ce que les autres font, on pourra s’en inspirer et faire bouger les choses plus vite.

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16 décembre 2010 4 16 /12 /décembre /2010 10:01

L’Union des Etudiants Communistes participe au FMJE avec plusieurs objectifs.

 

De nombreuses luttes sont actuellement menées dans plusieurs pays contre la privatisation de l’enseignement supérieur et contre la situation sociale des étudiants qui continue de se dégrader. Partout les universités fabriquent, chaque jour d’avantage, des armées de travailleurs précaires et corvéables à merci. Il s’agit donc pour nous d’affirmer toute notre solidarité avec ces luttes (Sénégal, Italie, Irlande, Angleterre, etc.).

 

De plus, les pays les plus riches au monde organisent en avril-mai 2011 à Dijon et Besançon le G8 des universités pour faire le point sur l’avancement de la privatisation de leur système d’enseignement supérieur. Le thème de ces réunions sera le lien entre université et entreprise !

 

L’UEC a pour projet de monter un contre-sommet international. C’est pourquoi le festival est une occasion de proposer à nos partenaires européens de participer  à cette initiative.

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16 décembre 2010 4 16 /12 /décembre /2010 09:58

Et voilà. Après une après-midi de formation, une nuit dans l’avion et une journée entre accréditation, change d’argent, course aux cigarettes puis aux hébergements : la délégation française au Festival Mondial de la Jeunesse et des Etudiants est installée à Pretoria.


Déjà les premières rencontres, les premiers chants, les premiers échanges fraternels… Cela laisse augurer de l’ambiance de ce 17e festival qui s’ouvrira dès aujourd’hui avec la cérémonie d’inauguration.
Avant Garde se mettra en quatre pendant les 9 prochains jours pour faire vivre le meilleur de ce festival aux délégués comme à tous les jeunes restés en France.
Au programme. Vous trouverez à la fois des articles sur les moments politiques, culturels et sportifs mais aussi des témoignages de jeunes parmi les quelques 18 000 attendus ici. Ce sera aussi l’occasion de faire plus ample connaissance avec les délégués français.pretoria-1-.jpg

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16 décembre 2010 4 16 /12 /décembre /2010 09:54

Ibrahima Eladji Queye est un ancien dirigeant de l’UJDAN, il est membre de la direction du PIT et de la centrale syndicale SUDES, il à été Candidat pour la mairie du Grand Yoff à Dakar lors des aux dernières élections municipales de Dakar, il participe en ce moment-même au Festival Mondial de la Jeunesse et des Etudiants pour le Sénégal.

 

jc : Peux-tu, en quelques mots, nous parler de la situation politique au Sénégal et de la situation de la jeunesse en particulier ?

 

Ibrahima Eladji Queye : La situation politique au Sénégal n’a pas beaucoup évolué depuis 5 ans. Entre les revendications de l’opposition pour un fichier électoral viable parce que consensuel, les nominations à des postes stratégiques dans le processus électoral d’individus contestés par la plupart des partis car soupçonnés d’avoir été les principaux instigateurs du hold up électoral de 2007 et les scandales financiers qui impliquent des gens du pouvoir être inquiétés. Voilà à quoi se résume la vie politique du Sénégal. La jeunesse est évidement la frange de la population qui est la plus affectée par cette situation de non gouvernance dans laquelle Wade [Président actuel du Sénégal] et sa famille ont fini de plonger le pays. Avec une université qui fait 10 fois sa capacité initiale, l’insuffisance d’enseignants, de nouveaux bacheliers non orientés pour défaute de places : le désespoir est le sentiment le plus partagé chez les jeunes. Il faut ajouter à cela l’absence totale d’une politique cohérente de formation et d’emploi.

 

jc : Le festival regroupe près de 75 organisations progressistes du monde entier, penses-tu que ce type d’initiative est efficace?

 

IEQ : A l’entame le festival était un cadre exceptionnel d’échange entre jeunes progressistes du monde afin de chercher à définir les voies pour construire un monde meilleur parce que juste. L’existence alors d’Etats idéologiquement adossés sur des valeurs paix, de progrès et de justice sociale était, c’est vrai d’un apport considérable en terme de soutien logistique surtout pour une participation massive des jeunes au mouvement festivalier. Les liens tissés entre les jeunes venus des différentes régions du monde permettaient aussi l’existence de réseaux de solidarité bien organisés partout à travers le monde pour, à coté des opprimés, se battre pour l’émancipation des peuples. Aujourd’hui la réalités est tout autre et les rencontres sont vidées de leur sens du fait justement d’une représentation plus déséquilibrée des différentes régions du monde et surtout d’ une organisation assez tatillonne qui influe négativement sur la qualité des activités donc des attentes en terme de mise en place ou de consolidation de réseaux pour les combats devenus toujours actuels .

 

jc : Le thème majeur du festival tournera autour des indépendances africaines, quel bilan fais-tu de ces dernières ?

 

IEQ : De quelle indépendance s’agit-il ? De celle négociée par « les pères » qui devait juste se substituer au chef blanc en échange d’une impunité face aux exactions commises sur les véritables combattants pour la liberté des peuples et le libre choix de leur mode d’administration (KAWAME KRUMA, PATRICE LUMUMBA et tant d’autres) ? Car c’est la seule forme de « dépendance » que l’Afrique a connue. Dans les domaines économiques et sociales, l’Afrique est encore de loin tributaire des humeurs du capital occidental qui a désormais comme priorité aujourd’hui ses propres remous avec l’essoufflement du capital.

 

jc : Le terme « pour une transformation sociale » apparaît dans le slogan politique du festival, ce qui est une première, en cette période de crise du capitalisme, qu’est-ce que cela t’évoque?

 

IEQ : C’est un slogan prometteur parce que reflétant une urgence. Sans de profondes transformations sociales, le monde actuel risque de s’effondrer du fait des disparités de plus en plus marquée entre le nord et le sud du fait de l’absence d’un commerce international équitable, et des effets de la recherche effrénée du profit sur notre environnement. Le fossé se creuse entre les ultras riches tirant les ficelles d’un capital bunkeurisé et les pauvres dont le nombre ne cesse de croitre dans toutes les régions du monde.

 

jc : La Palestine sera également au cœur des discussions, qu’est-ce que cette cause représente pour des organisations comme l’UJDAN et le PIT?

 

IEQ : Les départements internationaux de l’UJDAN et du PIT ont toujours suivi la situation en Palestine. Nous avons d’ailleurs été les premiers à avoir transporté jusque chez les simples citoyens la cause palestinienne et la nécessité d’une mobilisation nationale et internationale et cela depuis le début des années 80.Aujourd’hui, plus que jamais, nous considérons que la mobilisation ne doit pas faiblir. La pression internationale doit continuer à s’exercer sur ISRAEL et les ETATS UNIS pour que le peuple Palestinien accède enfin à la souveraineté internationale.

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10 décembre 2010 5 10 /12 /décembre /2010 16:02

http://www.wfdy.org/17wfys/wp-content/themes/wfys_blank/images/Header.jpg

 

A la jeunesse et aux étudiants du monde pour le 17e Festival de la jeunesse et des étudiants, en Afrique du Sud
 

 
La jeunesse a toujours été une force vitale dans le développement des sociétés. Avec une créativité naturelle, une volonté de changement, de transformation, la jeunesse lutte pour la liberté, la paix et la transformation sociale, pour le droit à l’éducation, à l’emploi, à la démocratie et la paix, elle a toujours eu un rôle significatif dans la lutte générale pour un monde juste et de paix. Cela a été démontré par le passé, mais aussi aujourd’hui où les grandes manifestations d’étudiants, de jeunes travailleurs et des jeunes en général constituent une avant-garde de la résistance contre l’exploitation, le recul des droits, le pillage impérialiste des ressources, le racisme, la discrimination sexuelle, le colonialisme, le fascisme, les interventions militaires et la guerre, et pour la survie de l’être humain. Nous appelons la jeunesse à continuer ces luttes.
 
Dans les temps actuels où l’impérialisme domine le monde et dans le cadre de l’une des crises structurelles du système capitaliste les plus profondes, la situation des jeunes s’aggrave. Ceci est clairement démontré par l’accroissement du nombre de jeunes au chômage ou confrontés au travail précaire, alors que les profits des grands groupes économiques ne cessent d’augmenter. Le nombre de personnes en résistance augmente chaque jour, dans tous les pays où les jeunes et les gens sont victimes de l’impérialisme et résistent courageusement, autant que dans beaucoup de pays confrontés à des sanctions, des blocus et des occupations. Cette crise montre les limites historiques de ce système et le fait qu’il y a plus de potentiel pour lutter contre lui, et d’inverser la balance entre les différentes forces du monde. Nous appelons tous les jeunes à nous rejoindre dans notre lutte de résistance à l’exploitation des peuples et de l’environnement, et pour la réelle satisfaction des besoins humains.
 
Alors que les forces impérialistes accroissent la militarisation du monde, en implantant plus de bases militaires, par la compétition entre elles pour s’accaparer les marchés et les ressources naturelles, par l’augmentation de la puissance de feu des armées et de leur budget, le développement d’armes de haute technologie, et la dévastation de l’environnement et des ressources naturelles, prouvant le caractère “éco-prédateur” de l’impérialisme, la Terre est devenue un endroit plus dangereux à habiter pour la jeunesse. Parallèlement à l’autonomisation des structures impérialistes, come l’O.T.A.N., l’U.E., l’AFRICOM et d’autres, l’impérialisme est chaque jour plus agressif envers les organisations progressistes, démocratiques et communistes, ce qui exige que nous renforcions la lutte pour la paix. L’augmentation des offensives militaires et des provocations contre tous les gouvernements progressistes d’Amérique latine et des Caraïbes, la persécution des mouvements étudiants et de jeunesse en Colombie ainsi que des forces progressistes et anti-impérialistes dans les pays d’Europe de l’Est, la comparaison du communisme au nazisme, les attaques au Sahara occidental contre l’UJSARIO, les jeunes, et la population, les crimes contre la jeunesse et la population de Palestine par l’occupation sioniste israélienne soutenue par l’impérialisme, l’occupation de l’Irak et de l’Afghanistan, la continuation de l’occupation de Chypre, l’oppression des populations indigènes, et beaucoup d’autres exemples démontrent que la tentative de l’impérialisme de détruire les droits démocratiques n’est pas seulement un événement isolé dans un pays, mais est un des éléments clé de l’attaque et de la stratégie impérialiste.
 
La jeunesse a lutté, lutte et luttera pour une éducation publique, gratuite, démocratique et de qualité, pour le droit à l’emploi avec l’intégralité des droits des travailleurs, pour les droits démocratiques, pour le droit à un accès gratuit à la santé, le sport et la culture, pour la protection de l’environnement, pour la souveraineté populaire, une vie décente, d’amitié, de solidarité et de paix entre tous les peuples du monde. Il n’y a pas de campagne impérialiste, pas de manuel scolaire anti-scientifique, pas d’industrie de la culture, pas de sentiment nationaliste, de préjugés raciaux, de mouvements sécessionnistes promus par l’impérialisme, de conflits ethniques ou religieux soutenus par l’impérialisme qui puissent à jamais empêcher la lutte victorieuse des jeunes et de l’ensemble des travailleurs contre l’exploitation de l’homme par l’homme.
 
Le 17e Festival mondial de la jeunesse et des étudiants (F.M.J.E.) se tiendra, avec son riche passé d’expériences, en particulier l’expérience du 16e F.M.J.E., tenu à Caracas, au Venezuela en août 2005, dont le succès représente une grande responsabilité et un grand espoir pour le 17e F.M.J.E. qui se tiendra à Pretoria en Afrique du Sud en décembre 2010.
 
Le 17e F.M.J.E. en Afrique du Sud souligne le caractère anti-impérialiste des Festivals mondiaux de la jeunesse et des étudiants. La dure confrontation avec l’impérialisme était un des ciments du F.M.J.E., avec une importante contribution des pays progressistes et socialistes. La participation internationale massive de la jeunesse et des étudiants et les caractéristiques politico-culturelles sont des éléments que nous devons renforcer, ainsi que la solidarité avec la résistance sud-africaine à tout type d’intervention impérialiste, dans la construction d’un pays souverain, de paix, de justice sociale, multiculturel et plurinational, depuis que la courageuse lutte des Sud-Africains et de la jeunesse du pays a brisé les barreaux de l’apartheid.
 
En outre, organiser le 17e Festival sur le continent africain est un signe de soutien à la jeunesse africaine, qui se bat courageusement contre les nouvelles vagues de l’impérialisme, aussi bien contre son aspect militaire, comme l’implantation de bases militaires à travers tout le continent (en particulier le dangereux projet américain d’AFRICOM) et l’accroissement de sa présence militaire en Somalie. Mais aussi contre son expression politique et économique par la tentative de forcer tous les pays à se plier aux volontés impérialistes, punissant avec des sanctions tous ceux qui refusent d’accepter cette nouvelle sorte d’attaque néo-colonialiste contre leurs pays et leurs peuples.
 
Le Festival mondial de la jeunesse et des étudiants est organisé collectivement et représente les millions de jeunes qui luttent pour un futur de paix sans l’impérialisme et ses structures. Son processus démocratique, depuis les premier temps de la préparation jusqu’à la cérémonie de clôture est unique et doit être préservé et approfondi, afin d’être toujours mieux connecté avec les luttes quotidiennes concrètes de la jeunesse et des étudiants dans les pays du monde entier.
 
Nous appelons tous les jeunes et étudiants progressistes à se joindre à la lutte pour la paix et contre l’impérialisme, et à travailler activement dès aujourd’hui pour soutenir le 17e F.M.J.E. dans leur pays et à participer au Festival en Afrique du Sud.

 
Vaincre l’impérialisme, pour un monde de paix, de solidarité et de transformation sociale !
 
Travaillons pour la réussite du 17e Festival de la Jeunesse et des Etudiants, en Afrique du Sud. 

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20 novembre 2010 6 20 /11 /novembre /2010 19:23

Depuis le début du mouvement contre la réforme des retraites, la jeunesse communiste du Pas-de-Calais a été de tout les combats, à l'avant-garde des mouvements de jeunesses nottament dans les lycées où ils sont le plus implantés.

Des milliers de jeunes ont exprimés leur mécontentement et leur refus sur cette réforme injuste des retraites. Malgré cela le gouvernement ne l'entend pas de cette oreille et a décidé de foncer tête baissée pour là faire passer en force et sans concertation. Mais la JC ne décolère pas et appelle tout les jeunes à manifester le 23 novembre pour exprimer une nouvelle fois leur refus de la réforme qui ne vise qu'à défendre un système : le capitalisme.

Il s'agit là d'un combat de lutte des classes car il est bien évident que les intérêts que défendent le gouvernement ne sont pas ceux exprimés par la jeunesse d'aujourd'hui ainsi que par l'ensemble des français.

 

Le 23 novembre, pas de fatalisme ni de résignation, participons tous aux manifestations locales ou régionales.

Tout est une histoire de rapport de force face au capitalisme.

 

«Celui qui combat peut perdre, mais celui qui ne combat pas a déjà perdu.» Bertolt Brecht

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11 octobre 2010 1 11 /10 /octobre /2010 14:42

RETRAITES; CHÔMEURS, SALARIES, LYCÉENS, ÉTUDIANTS, RETRAITÉS : TOUS DANS LA RUE LE 12 OCTOBRE

 

POUR LE RETRAIT DE LA REFORME WOERTH

 

62

- Pas-de-Calais

 

 

Lens : 10h00

- Place du Cantin

Arras : 10h00

- Place de la Gare SNCF

Béthune : 8h30

- Manf'-action départ du parking de Brico dépôt (derrière Auchan)

Boulogne : 9h30

- quai Gambetta

Calais : 9h

- Rendez-vous Place de l'Hôtel de Ville

 

GROSSE MANIFESTATION POUR LA REGION

Nord Lille -

-14h30, Porte de Paris

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6 septembre 2010 1 06 /09 /septembre /2010 18:25

Manifestations locales :

 

8h30

Bruay-la-Buissière - Parc de la Porte Nord

 

9h00

Calais - Place de la mairie

 

9h30

Boulogne sur mer - Quai Gambetta

 

10h00

Arras - Place de la gare

Lens - Place du Cantin

 

Manifestation régionale :

 

14h30

Lille - Porte de Paris

 

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