Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
14 mars 2013 4 14 /03 /mars /2013 14:52

Sevil-Sevimli-copie-1Après trois mois de détention provisoire 
et votre procès en Turquie, vous êtes 
de retour en France. Est-ce terminé 
pour vous ?

Sevil Sevimli. Non, j’ai été condamnée 
à cinq ans de prison. J’ai fait appel mais la procédure est très longue. Surtout, si la loi sur la collaboration «antiterroriste» entre la Turquie et la France (un accord de coopération policière négocié par l’ancien ministre de l’Intérieur Claude Guéant dont l’examen a été pour l’instant repoussé – NDLR) est validé par les parlementaires, c’est sûr, je serais obligée de faire mes cinq ans de prison. Une mobilisation est nécessaire, pas seulement pour mon acquittement, mais contre ce projet de loi et la répression qui a lieu en Turquie comme en France.

 

Votre combat va au-delà de votre 
propre cas ?

Sevil Sevimli. Il y a beaucoup de prisonniers politiques dans les prisons turques. Une grande pression s’exerce sur eux. Ce n’est vraiment pas facile dans cette situation de s’exprimer, de continuer à être engagé. La plupart des personnes arrêtées sont soupçonnées d’être des terroristes. Mais elles mènent simplement un combat et osent dire « non » au gouvernement turc. Elles sont arrêtées pour des manifestations, pour avoir collé une affiche… Tout cela est complètement légal, mais ne plaît pas au gouvernement.

 

Continuez-vous à mener ce combat 
en France ?

Sevil Sevimli. Bien sûr, pour les personnes qui sont arrêtées là-bas mais aussi pour celles qui sont arrêtées ici, en France, pour exactement les mêmes raisons. Il est important de montrer que tout ce qui se passe en Turquie n’est pas si loin. Ce peut être votre voisin qui risque de se faire arrêter. Il faut le démontrer pour mener une grande lutte contre cette collaboration entre les pays européens et la Turquie.

 

Avez-vous un message pour ceux qui se sont mobilisés pour votre libération, dont le PCF qui vous a reçue ce week-end ?

Sevil Sevimli. Je les remercie de m’avoir soutenue et de continuer à soutenir tous ceux qui sont emprisonnés en Turquie et en France. On a beaucoup à faire encore. La route est longue, il ne faut pas lâcher prise.

Partager cet article
Repost0
14 mars 2013 4 14 /03 /mars /2013 11:57

jorge-mario-bergoglio-devient-francois-premier.jpgC’est avec émotion que le monde catholique a appris l’élection d’un nouveau Pape, François 1ER . Sans attendre, les principaux médias ont tenté de l’affubler de surnom de « Pape des Pauvres », pour la rédaction du Figaro, c’est carrément une révolution ( !) Mais de quelle révolution parlons-nous, alors que les femmes en sont toujours exclues, alors que les théologues de la libération, les religieux connus pour leur action progressiste en Amérique Latine, n’ont eu de cesse d’être combattus et mis au ban de cette institution ? Les médias actuels entretiennent volontairement ce flou, mais Bergolio est bien loin d’en faire partie : il est surtout connu en Argentine pour ses liens douteux avec les anciens dignitaires de la Junte Militaire qui a sévit de 1976 à 1983. Les principaux dignitaires Videla et Massera se sont largement appuyés sur l’aile droite de l’Eglise Catholique dans le « processus de réorganisation nationale » cette dictature qui a provoqué la disparition de 30.000 personnes ! Durant cette période trouble, Bergolio était un farouche opposant à cette aile gauche du clergé, d’inspiration humaniste, voulant une église au service des plus démunis.

Certaines accusations le mettent en cause dans des cas de disparitions de trois personnes en Argentine comme le révèle ici le journaliste argentin Verbistsky ! De même les Grands-mères de la Place de Mai ont porté des accusations très sérieuses quant à son implication dans le réseau de vol de bébés de prisonniers politiques disparus durant la Dictature Argentine ! Certains l’ont présenté comme plus progressiste,  alors que l’ensemble de ses positions en Argentine sont des plus réactionnaires, opposition à l’avortement, opposition au mariage pour tous… Après le Cardinal Panzer, et son sulfureux passé au sein des jeunesses hitlériennes, encore une fois c’est la droite du clergé, une droite au comportement des plus troubles qui a imposé son choix !

Nous rejoignons les positions  des camarades et progressistes de l’Argentine et de l’Amérique Latine dans leur méfiance à l’égard  du nouveau Pape car cette brève homélie en faveur des pauvres ne saurait absoudre une vie de prise de positions réactionnaires. Ce n’est pas de silences coupables, mais de solidarité sincère face aux injustices dont la jeunesse du monde a besoin !

Partager cet article
Repost0
10 mars 2013 7 10 /03 /mars /2013 17:13

Le Collectif du bassin Minier et les jeunes communistes dénoncent le maintien en détention de Georges Ibrahim Abdallah, prisonnier politique en France, malgré la décision de Justice favorable a la Libération réitérée le 10 janvier 2013.

 

625436_10151507641544393_600667556_n.jpg

 

5 groupes de la région seront présent à la demande du collectif du peuple des corons pour exiger la libération de Georges Ibrahim Abdallah.


Hk
Piece Of Salam
Les spéculos
Mister Aya
La Jonction

 
5 euros de participation, pour continuer la lutte pour la libération de Georges, mais aussi contre l'impérialisme.

 

Renseignements et réservation : liberezgeorgesibrahimabdal lah@gmail.com

 

 

 


  évènement facebook  :link

 

Partager cet article
Repost0
6 mars 2013 3 06 /03 /mars /2013 17:14

 

hugo-chavez-bolivarian-revolution-venezuela_2.jpg

Le Mouvement des Jeunes Communistes de France apprend avec tristesse la mort du Président de la République Bolivarienne du Vénézuela Hugo Chavez. Nous joignons notre douleur à celle de tout un pays, de tout un continent.  Nous saluons la mémoire d’un révolutionnaire qui a su concilier révolution et démocratie, imposant par sa présence de nouvelles voies vers l’émancipation et vers le socialisme. 

Résistant acharné face à l’impérialisme et au néolibéralisme son engagement au service du peuple a fait résonner durant plus de dix ans des mots oubliés par le tiers monde : indépendance et développement !

Le Venezuela qu’il a participé à  forger est une patrie pour tous et non au service de quelques uns !  La conquête de nouveaux droits pour les plus démunis, les exclus et les exploités de son pays sont des exemples pour le reste du monde !  Visionnaire en son temps, reprenant le flambeau de Simon Bolivar, il a réussi à mettre en place de nouveaux rapports internationaux en Amérique Latine : Alba, Celac, UnaSur etc, tissant des liens avec l’ensemble des pays de l’Amérique Latine, aux premiers rangs desquels Cuba, l’Equateur et la Bolivie.

Avec son départ, l’unique crainte pour le MJCF est de voir l’impérialisme américain s’engouffrer dans la brèche, de voir des revanchards se saisir de sa mort pour régler des comptes politiques.

 Néanmoins la solidité de sa révolution réside dans l’engouement d’un peuple et d’un continent pour parachever l’immense travail commencé. Le meilleur hommage que nous puissions lui rendre est de continuer à lutter pour un monde de justice et de paix, contre l’impérialisme qu’il dénonçait tant. Notre participation au prochain Festival de la Jeunesse et des Etudiants à Quito doit également être un moment pour rendre hommage au processus révolutionnaire qu’il a enclenché.

Visionnaire, militant, révolutionnaire, Chavez nous te saluons !

No se va Chavez no se va !

Partager cet article
Repost0
1 mars 2013 5 01 /03 /mars /2013 10:40

DSCN0446.JPG

Il incarne « le mouvement populaire, ouvrier, qui se libère. Ici, il a toute sa place » ! A l’heure de l’inauguration du Louvre à Lens, le 4 décembre 2012, c’est en ces termes que François Hollande commente la présence dans le musée du tableau « La Liberté guidant le Peuple » inspiré de la Révolution avortée de 1830.

 

Comme une offrande (sic !) faite à la corporation minière pour la remercier de sa contribution à l’essor de la Nation ! A l’heure du démantèlement du Régime minier de Sécurité sociale, l’un des acquis de la Libération, ou du mépris affiché à l’endroit des justes revendications de réhabilitation exprimées par les mineurs-

grévistes de l’automne 1948, cette approche ne manque décidément pas d’air.

 

Cependant, « le mouvement populaire qui se libère », les armes à la main, de la tyrannie impérialiste et sioniste, des bourreaux de la Palestine et du Liban, Georges Ibrahim Abdallah l’incarne à la charnière des années 1970-1980.

Aussi, le comité « Bassin minier » pour sa libération a-t-il décidé de l’organisation d’un sit-in devant la toile d’Eugène Delacroix à la veille d’une énième audience visant à empêcher le retour vers son Liban natal du plus ancien prisonnier politique de l’Hexagone. Une initiative qui s’inscrit dans le cadre d’une Journée internationale

de mobilisation.

 

Il est 17h quand, auprès du Peuple des Corons, prennent place des militants de Solidarité Georges de Lille, du PCF, de la Jeunesse communiste, du PRCF, du NPA ou encore des syndicalistes CGT du Bruaysis, du Liévinois et de l’Arrageois. Des affiches se déploient au nez et à la barbe des forces de police et de sécurité visiblement à cran. Dans un silence de cathédrale, une courte mais intense intervention transforme le musée en formidable caisse de résonance autour de l’exigence de la libération du résistant communiste. En octobre dernier, il entamait sa 29e année de détention, à Lannemezan dans les Pyrénées.

 

Fils ou petits-fils de Gueules noires sacrifiées par les Houillères sur l’autel de la rentabilité, habitants d’un Bassin minier rendu exsangue par trente années de désindustrialisation à marche forcée dans le cadre d’une construction européenne au service de la seule bourgeoisie, militants solidaires en provenance de la Flandre voisine, tous font honneur à ce Pays noir, terre de brassage pétrie de valeurs internationalistes.

 

Quel plus bel hommage pouvait-on rendre à la corporation minière aux avant- postes dans la lutte contre le nazisme sous l’occupation ou victime du « terrorisme d’Etat » lors des grèves de 1948 ? Un « terrorisme d’Etat » aux délétères accents sionistes, qui fait aujourd’hui des centaines de victimes de Gaza à Ramallah...

 

Le Peuple des Corons a répondu aux attentes de François Hollande et de la social-démocratie du cru qui l’invitaient à se « saisir » du Louvre-Lens. Puisse le chef de l’... Etat français satisfaire désormais à ses aspirations en faisant appliquer la décision de Justice favorable à la libération de Georges Ibrahim Abdallah.

La tragi-comédie n’a que trop duré...

Partager cet article
Repost0
28 février 2013 4 28 /02 /février /2013 13:13

Mai 2006. Harnes. Des trombes d’eau s’abattent sur le bois de Florimond. La Fête de Liberté est gâchée, la facture salée et le PCF désormais orphelin de son grand rassemblement populaire annuel. A la grande satisfaction des sections locales du Parti, il renaîtra de ses cendres les mercredi 8 et jeudi 9 mai prochains au parc de la Glissoire à Avion. Une résurrection en forme de clin d’œil « rouge » à la fête catholique de l’Ascension ! « 14 sections ont déjà prévu d’y installer un stand, et ça va continuer.

Fete-du-PCF.jpg

C’est aussi à leur demande que la Fédération du Pas-de-Calais a décidé de renouer avec cette tradition », assure Kamel Ben Azouz en charge de coordonner l’organisation de l’évènement. Il avait attiré pas moins de 7.000 personnes en 2005. « Nos adhérents ont besoin de se retrouver, de faire la fête », prétend-il encore. Et ce membre du conseil fédéral de promettre la présence « de beaux groupes sur la grande scène », sans en dévoiler pour l’instant les identités. « Nous en sommes encore au stade des pourparlers, mais il y aura des surprises.

Nous en saurons plus d’ici une quinzaine de jours. » Au « carrefour des luttes », il sera beaucoup question du devenir de l’industrie automobile, « avec les camarades de la Française de Mécanique ». Comme de coutume, les dimensions internationalistes et solidaires seront mises en avant avec une attention particulière portée « à la lutte du peuple palestinien et à Georges Ibrahim Abdallah » et la tenue d’ « un marché aux puces de la solidarité ». Tradition toujours avec le meeting du jeudi après-midi, dont l’invité pourrait être Pierre Laurent, le premier secrétaire du PCF en personne. Deux jours d’animations artistiques, de rencontres culturelles et d’échanges politiques pour seulement 2 euros ! De quoi conforter l’assise populaire d’une fête portée par « l’exigence de l’Humain d’abord ».

 

Jacques KMIECIAK

Partager cet article
Repost0
26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 09:53
1211-002 pcf 60x80 industrie int 0-pdf-imageVille : BETHUNE
Lieu : Rassemblement devant la Mairie organisé par les UL de Auchel, Béthune, Bruay, Lillers et Saint-Pol
Heure : 10h30
Organisation : CGT
Ville : BRUAY
Lieu : Rassemblement devant la Mairie organisé par les UL de Auchel, Béthune, Bruay, Lillers et Saint-Pol
Heure : 10h30
Organisation : CGT
Ville : LILLE
Lieu : Manifestation régionale départ Porte de Paris
Heure : 14h30
Organisation : CGT, FO avec le soutien de FSU et SOLIDAIRES
Ville : OUTREAU
Lieu : Rassemblement devant la Mairie organisé par l’UL de Boulogne
Heure : 09h30
Organisation : CGT
Partager cet article
Repost0
25 février 2013 1 25 /02 /février /2013 09:58
 755px-Eugene_Delacroix_-_La_liberte_guidant_le_peuple-2.jpg
En novembre 2012, les juges du Tribunal d’Application des Peines s’accordaient sur le principe d’une libération du militant communiste Georges Ibrahim Abdallah, condamné pour des actions de résistance à l’impérialisme. Depuis, l’Etat français, sur pression des Etats-Unis, multiplie les recours pour empêcher le retour vers le Liban du plus ancien prisonnier politique de l’Hexagone, détenu depuis 1984 et libérable depuis... 1999 !
A la veille d’une énième audience devant la cour d’appel
Rassemblement devant le tableau
De Delacroix « La Liberté guidant le Peuple »
Au Musée du Louvre à Lens
Mercredi 27 février 2013 à 17 h
"Quand il s'agit de solidarité prolétarienne internationale, les communistes répondent toujours : présents. Leur place est aux premiers rangs de ceux et celles qui se mobilisent contre l'injustice et pour l'avènement d'un monde meilleur." Georges Abdallah - octobre 2011.
Partager cet article
Repost0
22 février 2013 5 22 /02 /février /2013 16:27

487784_423322501081694_200275493_n.jpgLe MJCF et son secrétaire général Nordine Idir se sont joints à la liste déjà longue d'associations, syndicats, partis politiques et citoyen-ne-s, à avoir lancé un appel afin que l'accord national interprofessionnel (ANI) signé le 11 janvier 2013 par le patronat et trois syndicats ne soit pas transcrit dans la loi.

Cet accord illégitime constitue, en effet, un recul social majeur, qui ne fera qu'aggraver la précarité du travail. Nous appelons les parlementaires à refuser de se faire les scribes d'un patronat-voyou qui n'a que le profit en ligne de mire et le chomage et la précarité pour la majorité d'entre nous. Nous nous étions déjà mobilisés contre le Contrat Premier Embauche en 2006 qui constituait une liquidation masquée du CDI, et institutionnalisait la précarité. Comment alors faire le moindre projet, louer un logement, si on risque d'être jetés du jour au lendemain ? Laurence Parisot s'était d'ailleurs illustrée en disant : "La vie est précaire, l'amour est précaire, pourquoi le travail ne serait pas précaire ?" Alors qu'elle redouble d'offensives, nous ne comptons pas restés les bras croisés !

 

Découvrez ci-dessous l'appel "un "ANI" qui nous veut du mal"

L’accord national interprofessionnel (ANI) du 11 janvier signé par le patronat et certaines organisations syndicales représente un recul social majeur. Les soi-disant « nouveaux droits pour les salariés » sont en réalité de portée limitée et comportent nombre de dérogations et de dispositions qui en permettent le contournement. Par contre, les mesures en faveur  du patronat portent des coups sévères au droit du travail. Cet accord s’inscrit dans le droit fil des préconisations, appliquées partout en Europe, de la Troïka (Commission européenne, Banque centrale européenne, Fonds monétaire international) : démantèlement du droit du travail,  chantage à l’emploi pour baisser les salaires et les droits sociaux au nom de la compétitivité. Il contribuera ainsi à la spirale dépressive dans laquelle les politiques d’austérité enfoncent l’Union européenne.

L’accord aggrave encore, après les lois Fillon de 2004 et 2008 qu’il faut abroger, la remise en cause de la hiérarchie des normes en permettant de nouveau qu’un accord d’entreprise soit moins favorable que la convention collective et que la loi : en cas de « graves problèmes conjoncturels » de l’entreprise (quelle entreprise ne connaît pas de problème conjoncturels et surtout qui en jugera ?), il ne laisse d’autre choix au salarié que d’accepter la baisse de son salaire et l'augmentation de son temps de travail sous peine de licenciement. L’accord réduit considérablement les droits et les possibilités de contestation et de recours à la justice des salariés et de leurs représentants. Il remet en cause des prérogatives importantes des instances représentatives du personnel et renforce le pouvoir des employeurs, notamment celui d’imposer la « mobilité » des salariés (changement de lieu ou de poste de travail).

Loin de permettre « la sécurisation de l’emploi et des parcours professionnels des salariés » cet accord va, au contraire, aggraver la précarité du travail en libérant le patronat de nombre d'obligations. En dépit des promesses qui avaient été faites par le gouvernement, l'accord ne réduit pas les inégalités professionnelles entre les femmes et les hommes, alors même que la précarité de l'emploi concerne en premier lieu les femmes, prépondérantes dans le temps partiel (80%) et plus souvent touchées par les CDD, le chômage et le sous-emploi.

Enfin cet accord est illégitime. Il a été signé par trois confédérations syndicales représentant une minorité de salariés, alors même que les règles de représentativité syndicale sont sur le point de changer. Les parlementaires de droite se disent prêts à voter ses dispositions telles quelles, mais ni le président de la République, ni la majorité de l’Assemblée nationale n’ont été élus pour faire reculer les droits des salariés. Transposer ces reculs sociaux dans la loi représenterait donc un grave déni démocratique.

Nous appelons les salariés-es, et plus largement, tous les citoyen-ne-s à lire ce texte, à l’analyser, à tenir partout des réunions pour en débattre ensemble et faire entendre leurs exigences auprès de leurs élus, tout particulièrement ceux de gauche, pour qu’ils ne votent pas ce texte. L'heure est bien plutôt à la sécurisation des emplois contre les licenciements, pour un travail de qualité, sans précarité, avec des droits sociaux de haut niveau pour les salariés, les chômeurs et les retraités. Nous ferons tout pour que cet accord n’acquière pas force de loi et nous appelons à soutenir toutes les initiatives en ce sens, en particulier les mobilisations syndicales.

Cliquez ici pour retrouver la liste des premiers signataires

Partager cet article
Repost0
18 février 2013 1 18 /02 /février /2013 14:18

affiche rouge[1]

Comme chaque année, le 21 février, jour anniversaire de l’Affiche rouge (février 1942), les sections locales du PCF (Lens–Annay–Harnes...) et les jeunes communistes du Bassin Minier rendront hommage aux partisans du groupe Manouchian, fusillés par les nazis.

 

       Ainsi, jeudi 21 février à 17h30, nous déposerons une gerbe devant la plaque de la rue César Luccarini à Pont à Vendin. César Luccarini était un de ces fusillés.

 

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog du MJCF du Pas-de-Calais
  • Contact

Rechercher